mardi, janvier 30, 2007

TOGO Vers un retour de Stephen Keshi

L'homme qui avait conduit le Togo vers sa première Coupe du monde avant d'en être privé pour « insuffisance de résultats » s'apprête à retrouver le poste de sélectionneur au pays d'Emmanuel Adebayor. Des discussions ont été entamées à Lomé pour voir le Nigérian Stephen Keshi reprendre ses attributions. Il sera resté dix mois en réserve de la fédération togolaise.

L'Allemand Otto Pfister a quitté son poste après l'élimination au premier tour. La candidature du Français Eric Neveu a été avortée il y a deux semaines suite à un désaccord entre la fédération et le ministère des Sports, habituellement souverain. Pour l'instant, le Togolais Kodjovi Mawuena assure l'intérim.

samedi, janvier 27, 2007

Deux équipes togolaises en compétitions continentales ce week-end

L`équipe championne du Togo, Maranatha et AS Togo Port, détentrice de la coupe du Togo, seront en compétitions continentales ce week-end.
Maranatha, qui joue la Coupe de la Ligue africaine des clubs champions, croisera les crampons avec le Djaraf de Dakar, samedi dans la capitale sénégalaise. Entrée en première division pour la première fois en 1998, l`équipe s`est bâtie une réputation au Togo en défiant toutes les anciennes équipes du pays.
Elle a tenté l`aventure des compétitions internationales, sans succès.
En 2002, elle échoue en 8ème de finale face à Djoliba AC de Bamako (Mali) en Coupe de la CAF.
En 2003, elle est également sortie de la compétition par Coton Sport de Garoua (Cameroun), toujours en Coupe de la CAF.

lundi, janvier 15, 2007

Togo : Neveu rejeté

Le nouveau bureau de la Fédération togolaise (FTF) a rejeté lundi la nomination de Patrice Neveu dans les fonctions de sélectionneur de l'équipe nationale. Le Ministère des Sports du pays avait pourtant donné son accord.
L'accord du Ministère des Sports n'a pas suffi. Lundi, la nomination de Patrice Neveu comme sélectionneur de l'équipe nationale du Togo a été rejeté par le nouveau bureau de la FTF.
« Le nouveau bureau de la FTF a refusé de travailler avec Patrice Neveu, estimant qu'il n'a pas participé aux négociations » a expliqué le ministre M.Attipoé, avant de préciser que « le ministère pouvait passer outre cette décision, mais (ne voulait) pas engager un bras de fer avec le nouveau bureau de la FTF. » L'intérim est donc toujours assuré pour le moment par Kodjovi Mawuena.

Togo-Cameroun le 7 février à Lomé

Le Togo affrontera le Cameroun en match amical international le 7 février à Lomé, a indiqué lundi à l'AFP, le secrétariat général de la Fédération togolaise de football (FTF).
Le Togo et le Cameroun préparent la troisième journée prévue en mars des qualifications de la Coupe d'Afrique des nations (CAN-2008).

mardi, janvier 09, 2007

Adagio Tata Avlessi nouveau président de la Fédération togolaise

Adagio Tata Avlessi a été élu mardi à Lomé nouveau président de la Fédération togolaise de football (FTF) à l'issue d'un congrès "extraordinaire".
Adagio Tata Avlessi, 41 ans, président de l'Union sportive de Masséda (1re div. togolaise) a obtenu 24 voix contre 14 à Kodjo Agbéyomé et 8 au président sortant, le colonel Rock Gnassingbé, après le second tour du vote des délégués présents aux élections statutaires de la FTF.

Quatrième candidat en lice, Auguste Sagbo, président de l'Agaza de Lomé, autre club de l'élite du football togolais a été éliminé au 1er tour de scrutin, avec 2 voix.

Espoir Komlan Assogbavi, l'un des quatre membres de la FTF ayant démissionné de leur poste au lendemain du Mondial-2006 en Allemagne, a été réélu au poste de secrétaire général de cette structure.

Au total, douze membres dont cinq conseillers ont été élus par quarante-sept délégués des clubs de première division, de deuxième division et des ligues, lors de ce congrès tenu dans un grand hôtel de Lomé sous haute surveillance policière.

Le Tunisien Slim Aloulou, membre exécutif de la Confédération africaine de football (CAF) et le Belge Peters Jans, membre de la Commission de discipline de la Fédération internationale de football (Fifa) ont assisté à ces élections statutaires organisées et supervisées par une Commission électorale indépendante (CEI).


De nouveaux statuts
Le président de l'Union des fédérations ouest-africaines de football (UFOA), l'Ivoirien Jacques Anouma, le président du comité olympique togolais (CNOT), le général Zoumaro Gnofame, ainsi que les présidents des fédérations nationales de football du Bénin et du Ghana étaient également présents à Lomé.

M.Avlessi a, dans une brève déclaration à la presse, qualifié son élection à la tête de la FTF d'une "victoire du peuple togolais, la victoire de tous les acteurs du football togolais".

Le président sortant Rock Gnassingbé a pour sa part, promis d'aider la nouvelle équipe dans sa mission.

"Nous sommes appelés à nous aider parce que nous sommes tous des Togolais. Je suis prêt à apporter toute ma contribution pour aider la nouvelle équipe à faire mieux", a-t-il indiqué.

Peters Jans, de son côté, s'est dit "très satisfait" du déroulement de ces élections.

"Il appartient maintenant au nouveau bureau de s'occuper de la rédaction des nouveaux statuts. Car d'ici trois mois, une nouvelle assemblée générale sera organisée pour approuver ces nouveaux textes", a-t-il souligné.

Les textes qui régissent le football togolais ont été élaborés en 1994.

Le 10 novembre, la Fifa avait appelé à un renouvellement du bureau de la FTF, élaborant une feuille de route qui prévoyait notamment l'organisation d'"élections statutaires", suite à la crise qui secoue le football togolais depuis plusieurs mois.

La sélection togolaise avait été perturbée durant la phase finale du Mondial-2006 en Allemagne par une "guerre de primes" entre dirigeants et joueurs.

La question des primes avait déjà perturbé la préparation de la Coupe d'Afrique des nations (CAN-2006) en Egypte, avant que le problème ne soit réglé grâce à la médiation d'une commission mise sur pied par les autorités togolaises.

lundi, janvier 08, 2007

Adebayor : "Je regrette ce qui s'est passé"


Le Togolais d'Arsenal Emmanuel Adebayor est aujourd'hui considéré comme l'un des meilleurs attaquants africains.
FIFA Magazine

A seulement 21 ans, il est l'un des meilleurs joueurs d'Afrique. L'attaquant Emmanuel Adebayor s'exprime sur la sélection du Togo, son club actuel, Arsenal, ses objectifs et explique pourquoi il envisage de bientôt mettre un terme à sa carrière internationale.
FIFA magazine : Comment vit-on avec la responsabilité d'être le meilleur joueur du Togo ?
Emmanuel Adebayor : Je suis heureux et fier d'avoir cette responsabilité. Quand j'étais plus jeune, j'avais des idoles : Nwankwo Kanu, Abedi Pelé et Kalusha Bwalya. Ils étaient ceux que je souhaitais copier et je suis heureux d'être où je suis aujourd'hui. J'adore la façon dont mes compatriotes m'ont montré leur affection pour ce que je fais. Quand vous pensez que je n'ai que 21 ans et que j'ai tellement de chance d'avoir déjà disputé une Coupe du Monde, la Coupe d'Afrique des Nations et une finale de Ligue des Champions de l'UEFA. Je ne pourrais être plus satisfait de la direction que prend ma carrière.

Si on vous avait dit quand vous jouiez dans les rues de Lomé que vous accompliriez tout cela, l'auriez-vous cru ?
A vrai dire, si l'on m'avait dit il y a cinq ans que j'atteindrais ce niveau, je ne l'aurais pas cru. Pour moi et mes amis, qui avons regardé jouer Dennis Bergkamp et Nwankwo Kanu à la télévision, c'était un rêve d'être comme eux. Mais aujourd'hui, je joue à Arsenal, j'ai beaucoup de choses à prouver et je vais montrer ce dont je suis capable.

Votre physique et votre style de jeu ont été comparés à ceux de votre idole, Kanu...
C'est vrai. Les gens me disent toujours que je joue comme lui. En fait, j'ai été surnommé Kanu au début de ma carrière. Mais cela ne me gênait pas parce que j'étais fier d'être comparé à lui. Je ne dis pas cela parce que je suis à Arsenal, mais Kanu a été mon héros et le restera jusqu'à la fin de ma carrière.

Vous êtes jeune, mais vous semblez porter les espoirs de tout votre pays lorsque vous jouez pour le Togo. Comment gérez-vous la situation ?
Je remercie Dieu de me donner la faculté de gérer cette situation mais je dois dire que j'ai beaucoup de soutien de la part de mes coéquipiers et du staff. Je suis fier de représenter mon pays et je suis conscient de devoir donner mon meilleur à chaque fois. Il est important que notre peuple soit heureux lorsque les gens nous voient défendre l'honneur du Togo.

Vos parents viennent de l'Etat d'Osun au Nigeria. Aviez-vous envisagé pouvoir jouer pour les Super Eagles ?
Bien sûr ! Quand j'étais plus jeune, j'ai pensé jouer pour le Nigeria. J'ai aussi joué au football au Ghana, quand j'y allais à l'école. Mais lorsque j'étais en France, j'ai été appelé en sélection nationale du Togo à 16 ans et j'ai décidé d'accepter. Je savais qu'il serait difficile pour moi d'être sélectionné pour le Nigeria, j'aurais dû jouer à un très haut niveau car la compétition est rude en raison des nombreux joueurs qui évoluent en Europe. Mais au Togo, les chances sont plus grandes pour un jeune joueur évoluant en Europe, même s'il ne joue pas dans un grand club. Dans tous les cas, j'ai grandi au Togo, donc je ne regrette pas ma décision de porter ses couleurs.

Pour la première participation de son pays à une Coupe du Monde de la FIFA, Adebayor avait vécu quelques moments difficiles lors d'Allemagne 2006.
FIFA Magazine
Racontez-nous comment vous êtes tombé amoureux du football, lorsque vous jouiez avec vos amis et votre famille dans les rues de Lomé. Quels souvenirs gardez-vous de cette époque ?
J'ai tellement de bons souvenirs, notamment avec mon frère aîné. Nous jouions beaucoup dans des compétitions de football de rue, dont je finissais souvent meilleur joueur, ce dont je suis toujours fier. J'avais un tel amour pour le football que je faisais l'école buissonnière pour jouer au foot. Le matin, je mettais mon uniforme et prétendais me rendre à l'école. Mais finalement, je jouais toutes sortes de tournois au Ghana, à Aflao (une ville à la frontière togolaise) ou ailleurs. J'avais le football dans la peau et il n'y avait rien à faire.
Vos parents n'étaient certainement pas satisfaits de votre attitude par rapport à l'école...
Lorsque mes parents me prenaient à sécher les cours, ils me punissaient sévèrement. Mais ils ont arrêté de me frapper lorsqu'ils se sont rendus compte que rien ne me ferait changer d'attitude. Quand j'ai dit à ma mère que je n'avais rien à faire à l'école, elle n'était pas contente mais elle a fini par comprendre ma décision de me concentrer sur le football. Mon père n'a pas été si facile à convaincre. Mais lorsque j'ai été invité à jouer pour la sélection nationale des moins de quinze ans, ils ont plus facilement accepté ma décision.

Lors de la dernière Coupe d'Afrique des Nations en Egypte, vous vous êtes disputé avec Stephen Keshi, votre ancien sélectionneur, en raison de sa décision de vous laisser sur le banc pour quelques matches. Lorsque vous repensez à votre comportement, croyez-vous avoir eu une conduite professionnelle ?
Ce qui s'est passé lors de la CAN est de l'histoire ancienne. Mais lorsque j'y pense, je me dis que je suis mal comporté en ne respectant pas sa décision. Je suis un joueur et je dois accepter les décisions du sélectionneur. Mais je voulais tellement jouer et prouver que je faisais partie des meilleurs joueurs africains. Notre performance générale a été décevante et j'espère que nous ferons mieux en 2008 au Ghana. Keshi est comme un grand frère pour moi. En tout cas, il était plus qu'un simple coach. Ce sera toujours un plaisir de prendre de ses nouvelles.

La qualification du Togo pour la Coupe du Monde de la FIFA 2006 a été historique, mais ne pensez-vous pas que le comportement de votre équipe en coulisses a porté préjudice à l'image de votre pays et au football africain ? Le litige financier entre les joueurs et votre fédération était tout de même gênant...
Cela a été une période difficile pour moi et je regrette ce qui s'est passé. Un joueur participant à la Coupe du Monde veut montrer ses qualités et représenter l'Afrique avec fierté, pas se disputer pour des questions d'argent avec la fédération. Mais c'est le football et nous devons passer à autre chose.

Pensez-vous que les joueurs pourraient être de nouveau poussés à avoir recours à des mesures extrêmes pour recevoir l'argent qui leur est dû par la fédération ?
Ce qui s'est passé a été malheureux, mais nos actions (menace de boycott du match du groupe G contre la Suisse) ont forcé les gens à réaliser que les choses doivent changer au Togo.

En regardant comment le football est géré au Togo, pensez-vous que votre équipe pourra bâtir sur les fondations de ce que vous avez déjà accompli ?
Je l'espère. Nous avons de bons joueurs malgré les problèmes administratifs. C'est difficile, mais avec de la détermination, nous pouvons accomplir de grandes choses.

Le changement constant de sélectionneur au Togo doit être inquiétant. L'équipe en a eu trois en un an. Votre pays peut-il progresser ainsi ?
Evidemment pas, mais nous sommes des joueurs professionnels et nous devons mettre de côté les problèmes au sein de la fédération. Il est difficile de bien jouer lorsque l'on ne sait pas à long terme qui sera le sélectionneur ou quelle sera la situation à la fédération.

Ne pourriez-vous pas influencer la façon dont le football est géré dans votre pays ?
Si, mais je ne sais pas vraiment comment. Si l'on me demande des idées, je leur en donnerai. Mais si les choses ne s'améliorent pas dans les six prochains mois, je pourrais abandonner ma carrière internationale.

C'est une décision importante...
Oui. Mais je dois penser à moi en premier lieu même si j'attache une grande importance à la sélection. Je suis prêt à tout donner à mon pays, mais si la fédération n'est pas capable de s'organiser correctement, je serai contraint de prendre la meilleure décision pour ma vie.


Adebayor n'hésite jamais à s'arrêter signer quelques autographes après les séances d'entraînement.
FIFA Magazine
Quelle importance revêt une bonne performance de l'Afrique lors de la Coupe du Monde de la FIFA 2010 en Afrique du Sud ?
C'est l'occasion rêvée pour qu'une équipe africaine atteigne les demi-finales. C'est maintenant ou jamais.
Votre premier club européen a été le FC Metz, à un très jeune âge. Comment avez-vous vécu le changement d'environnement et l'absence de soutien familial ?
C'était difficile. Je suis arrivé en octobre et il faisait très froid. Ndiaye, un joueur sénégalais, m'a donné des vêtements chauds ou j'aurais pu mourir de froid. Un matin, j'en avais tellement assez du temps que j'ai dit à l'entraîneur que je ne voulais plus vivre en Europe et que je voulais rentrer chez moi. Je ne sentais plus mes mains ni mes pieds. Il m'a simplement dit que j'étais maître de mon destin et que je devais décider si je voulais rester ou partir. De retour dans ma chambre, après quelques pleurs, j'ai réalisé que j'avais une occasion en or de faire quelque chose de ma vie et que je ne pouvais pas me permettre de tout gâcher.

Vous avez entre autres été impliqué dans un accident de la route controversé lorsque vous étiez en France, ce qui a donné à beaucoup l'impression que vous étiez une personne à problèmes. Est-ce justifié de dire cela de votre personnalité ?
Je conduisais de Monaco à Metz, ce qui constitue une dizaine d'heures en voiture. J'aurais dû prendre l'avion. J'ai de la chance d'être encore en vie pour en parler mais parfois, les jeunes doivent connaître certaines expériences afin d'en tirer les leçons de la vie...

Beaucoup pensent que vous êtes une personne difficile qui n'a pas de respect pour l'autorité...
Je suis comme je suis. Je dis ce que je pense. Je respecte ceux qui ont du respect pour eux-mêmes. Les autres n'auront pas mon respect. Seuls ceux qui me connaissent peuvent me juger. Malgré mes différents avec Keshi, il ne dirait jamais de mal de moi. Il sait quel genre de personne je suis : un mec cool qui aime rire et veut profiter de la vie. Voilà ce que je suis.

Vous avez marqué dès votre premier match sous les couleurs d'Arsenal mais être titulaire est plus difficile. Cela vous contrarie-t-il ?
Ce n'est pas facile mais la compétition fait partie du jeu. J'ai connu cette situation à Metz et Monaco et c'est la même chose ici. Avec des joueurs du calibre de Robin van Persie et Thierry Henry, il sera toujours difficile d'être titulaire. Henry n'est pas devenu une star du jour au lendemain. Je dois travailler et écouter l'entraîneur, et je sais qu'avec le temps je deviendrai l'un des meilleurs joueurs du club.

Arsenal compte de nombreux jeunes dans ses rangs. Pensez-vous que l'équipe puisse devenir redoutable au point de dominer la Premier League ?
Je pense que d'ici deux saisons, nous serons irrésistibles. Avec des gars si talentueux qu'Emmanuel Eboué, Cesc Fabregas, Johan Djourou et Theo Walcott, nous sommes l'avenir du football de clubs anglais.

Emmanuel Adebayor, sous le maillot togolais, chante l'hymne national face à la République de Corée lors de la Coupe du Monde de la FIFA, Allemagne 2006.
FIFA Magazine
Maintenant que vous avez connu le succès dans le football, vous rencontrez sûrement de nombreuses personnes qui tentent de profiter de vous. Est-ce difficile de rester humble lorsque vous êtes constamment félicité ?
Je sais que certaines personnes autour de moi sont là en raison de mon métier et de ce que j'ai. C'est difficile de savoir si une personne m'apprécie vraiment pour ce que je suis. La seule chose que je puisse faire, c'est de me conduire le mieux possible, parce que sinon, je le paierai cher dans les prochaines années.
Vous avez de nombreuses années devant vous dans le football, mais avez-vous réfléchi à ce que vous aimeriez faire quand vous ne jouerez plus ?
Je tente de me créer une situation afin d'être sûr de pouvoir profiter de mes enfants lorsque je ne jouerai plus. J'aimerais aider les joueurs africains à réaliser leur rêve de jouer en Europe. Mais je ne serai jamais entraîneur... C'est un métier difficile et je ne voudrais pas de la responsabilité qui va avec. Je préfèrerais suivre le jeu en tant que spectateur quand j'arrêterai.


Nom : Emmanuel Sheyi Adebayor
Né le : 26 février 1985 à Lomé (Togo).
Nationalité : togolaise
Taille : 1,90 m
Poids : 75 kg
Poste : attaquant
Clubs : 1999-2003 : FC Metz (France). 2003-2006 : AS Monaco (France). Depuis février 2006 : Arsenal (Angleterre).
Palmarès : 2004 : finaliste de la Ligue des Champions de l'UEFA. 2006 : participation à la Coupe du Monde de la FIFA en Allemagne (meilleur buteur des éliminatoires de la CAF avec 11 buts) et à la Coupe d'Afrique des Nations en Egypte. 32 sélections et 12 buts pour le Togo.
Etat au 10 novembre 2006

samedi, janvier 06, 2007

Agboh en Finlande


L'ancien milieu de terrain d'Auxerre, Kuami Agboh, a signé pour une saison en Finlande au sein du club de Mypa a indiqué son agent Eric Conti.
A 29 ans, la carrière de Kuami Agboh prend un nouveau tournant. L'ancien joueur d'Auxerre et de Grenoble quitte la Belgique et Beveren pour le grand Nord : il jouera jusqu'en novembre au sein du club finlandais de Mypa a indiqué son agent Eric Conti à Football365. International togolais (il a disputé la dernière Coupe du Monde), Kuami Agboh avait porté les couleurs des équipes de France de jeunes en compagnie de glorieux coéquipiers comme Thierry Henry ou David Trezeguet.

jeudi, janvier 04, 2007

Football Patrice Neveu nouveau sélectionneur du Togo

Football Patrice Neveu nouveau sélectionneur du Togo Agé de 52 ans, le Français Patrice Neveu a été nommé à la tête de la sélection du Togo. Après être passé par le Maroc, le Niger ou la Chine, Patrice Neveu a pris la tête de la sélection du Togo, en remplacement de l’Allemand Otto Pfister. Il dirigera les Eperviers pour la première fois en mars, à l’occasion de la rencontre contre la Sierra Leone, comptant pour les éliminatoires de la CAN 2008.