La Fédération togolaise de football (FTF) et le groupe Ecobank ont signé mardi à Lomé un accord de partenariat dans le cadre de la participation de l'équipe nationale à la Coupe du monde en juin en Allemagne.
La banque à offert à la FTF 35 millions de FCFA destinés à "galvaniser" l'équipe nationale, les "Eperviers".
La directrice régionale d'ECOBANK, Evelyn Tall, déclaré qu'à travers ce geste son groupe encourage "la recherche de l'excellence", annonçant que le même type de partenariat sera signé avec les équipes nationales du Ghana et de la Côte d'Ivoire, également qualifiées pour la Coupe du Monde.
jeudi, avril 27, 2006
mardi, avril 25, 2006
Abalo, cœur fidèle
S’il est des joueurs pour lesquels le mot fidélité a une réelle signification, le capitaine togolais Jean-Paul Abalo (31 ans le 26 juin prochain) en fait assurément parti. Chez lui, une carrière s’écrit avec deux chiffres : dix saisons passées à Amiens, 12 en sélection… A une époque où de nombreux joueurs multiplient les expériences, une telle trajectoire peut étonner : « Je suis un grand sentimental, a-t-il avoué dans un entretien exclusif avec FIFAworldcup.com. Je m’attache facilement. Si je me sens bien dans la ville dans laquelle j’évolue, je ne vois pas pourquoi j’irai voir ailleurs. »
Comme la plupart des jeunes africains, Abalo a découvert le football dans la rue et à l’école. Très bon élève, ses parents voyaient en lui l’un des futures grandes figures de l’administration togolaise. Lui ne rêvait déjà que de ballon rond : « J’aimais bien l’école mais je me sentais encore plus heureux avec un ballon au pied. Mon père me disait toujours : ‘As-tu déjà vu un footballeur construire une belle maison au Togo ?’ Il avait raison, c’était dangereux de tenter une carrière à l’époque. Alors je me cachais d’eux pour jouer. J’étais obligé de laisser mes chaussures chez un copain. Si mes parents les avaient vues, ils m’auraient tué (rires). » Pourtant très vite sa vie va basculer. En voyage en France – son premier hors d’Afrique – pour disputer un tournoi international Juniors avec la sélection du Togo, il est repéré et s’engage avec le petit club de Saint-Christophe, près de Châteauroux.
A 18 ans, il découvre la quatrième division française. « Mais mon père se fichait toujours pas mal du football. Il ne savait pas que j’avais arrêté les études. Quand je rentrais au Togo, je disais ‘Oui bien sûr j’ai de bonnes notes’. J’aimerais tant qu’il soit encore là pour voir ce que son fils a réussi dans le football… »
Amateur à Dunkerque
A peine deux saisons plus tard, sa carrière est définitivement lancée par un transfert en Picardie, dans les rangs du Sporting Club d’Amiens. C’est le début d’une longue et belle histoire avec ce club. « Je garderai toujours une petite place pour Amiens dans mon cœur. C’est un club qui m’a énormément apporté. Tout s’est toujours merveilleusement passé. » En dix saisons dans les rangs amiénois, Abalo a vécu le pire comme le meilleur. Le pire avec la descente en National en 2000, le meilleur comme cette finale de Coupe de France disputée l’année suivante. Une décennie entière à servir les mêmes couleurs, sans jamais succomber aux envies d’ailleurs : « Je me sentais bien à Amiens, pourquoi aurais-je du en partir ? J’avais des contacts parfois. Même l’année de la descente en National j’ai reçu des offres venues du Golfe persique. Mais il n’y a pas que l’argent dans la vie. En tout cas, c’est ma vision. »
Il finit pourtant par y être contraint. Alors qu’il mène de mains de maîtres les destinées de la sélection togolaise dans les éliminatoires d’Allemagne 2006, les dirigeants picards décident de ne pas prolonger son contrat. A l’été 2005, Jean-Paul se retrouve donc sans club. C’est le début de la galère, qu’il vit pourtant avec philosophie : « Si j’ai du quitter Amiens, c’est la volonté de Dieu. Je ne garde aucune rancœur envers qui que ce soit. C’est juste la manière qui m’a déplu… Mais j’ai finalement pris mon courage à deux mains et tout fait pour continuer à jouer. » Il passe tout le mois d’août à frapper aux portes, participe à un stage organisé pour les footballeurs chômeurs, conclut des essais avec le GB Anvers ou le FC Bruxelles… Sans résultat.
Alors que beaucoup de professionnels n’auraient pas accepté une telle ‘régression’, Jean-Paul Abalo est reclassé amateur et rejoint au mois de septembre les rangs de Dunkerque (CFA). « Il n’y a aucune honte à cela ! Ce qui m’importait, c’était de jouer. Peu importe si je restais chômeur et que je ne gagnais plus ma vie. » Avec toute l’humilité qui le caractérise, il ne rechigne jamais. Même lorsque son entraîneur lui demande de rejoindre l’équipe réserve (en Promotion d’Honneur) pour aider les jeunes. Jean-Paul ne s’en offusque pas, ce qu’il veut c’est jouer. « Il n’y a jamais de petit match. Je revenais d’un essai en Corée et n’étais pas dans une forme excellente. Et puis personne ne m’a forcé, l’entraîneur me l’a juste proposé. » Ainsi, il maintient sa forme et reste compétitif dans les éliminatoires de la Zone africaine.
La qualification en poche, il se souvient de la liesse qui avait suivi le retour à Lomé des Eperviers, qualifiés pour la première fois de leur histoire pour une Coupe du Monde de la FIFA : « Notre dernier match au Congo a été si difficile (3-2) qu’au coup de sifflet final nous ne réalisions pas. Nous étions tous en pleurs sur la pelouse. Il y avait de la joie, de la souffrance, de la peur dans ces larmes… Et ce n’est que quand notre avion a atterri à Lomé que nous avons compris la portée de notre victoire. Jamais une telle foule n’avait été encore rassemblée au Togo. Ça reste un moment inoubliable. »
« Je nous sais capables d’exploits »
Pourtant la joie sera de courte durée. « Entre notre qualification et le début de la Coupe d’Afrique des Nations il y a quoi ? A peine quatre mois ? Et pourtant cela a suffi à tout détruire. La qualification en poche certains se pensaient déjà au sommet. Pourtant c’est bien là qu’il fallait commencer. Nous n’avons eu aucune préparation. Comme notre groupe est jeune, beaucoup de joueurs ont eu du mal à gérer la pression et ont failli. Après le premier match manqué, c’est l’engrenage. » Et Stephen Keshi, l’ex-sélectionneur national, d’en subir les conséquences : « Stephen nous a beaucoup apporté. Il nous a souvent protégés des pressions. Ça m’a fait mal de le voir partir mais c’est le football… Ce qui fait le plus mal, c’est de se dire que nous sommes responsables. »
Irréprochable dans son rôle de capitaine, et encore plus dans celui de patron de la défense – « Certains joueurs de la sélection critiquaient ma présence alors que je n’avais pas de club. J’ai mis un point d’honneur à leur donner tort » –, Abalo tape alors une nouvelle fois dans l’œil des recruteurs lors de cette CAN 2006. Cette fois c’est l’étranger et l’Apoel Nicosie qui lui fait les yeux doux. Mais pour un fidèle comme lui, la décision n’est pas facile à prendre : « Je remercie très chaleureusement Dunkerque qui m’a tendu la main à un moment où personne ne voulait plus le faire. S’il n’y avait pas eu la Coupe du Monde en fin de saison, je serais resté dans le Nord. Mais j’avais besoin de jouer à un niveau plus élevé. » Il signe donc en février dans le club chypriote.
« Je suis rentré de la CAN épuisé nerveusement. Il m’a fallu un certain temps pour m’adapter et retrouver un niveau correct. Mais depuis trois matches je suis titulaire. Nous sommes premiers du championnat, qualifiés en demi-finales de la Coupe. Je suis vraiment très heureux d’être ici. »
Et voici à nouveau Jean-Paul Abalo fin prêt pour aborder cette première Coupe du Monde de la FIFA de l’histoire du Togo : « Cela va être très difficile mais je sais notre équipe capable d’exploits. Si la France est largement favorite de notre groupe, je nous vois à égalité avec la Corée et la Suisse. » Mais dès qu’un brin d’excitation l’emporte, son humilité rejaillit très vite : « Avec le nouveau sélectionneur nous repartons à zéro. Je me prépare en conséquence mais je ne sais pas si je ferai partie de la liste des 23… » Seul lui semble en douter.
Comme la plupart des jeunes africains, Abalo a découvert le football dans la rue et à l’école. Très bon élève, ses parents voyaient en lui l’un des futures grandes figures de l’administration togolaise. Lui ne rêvait déjà que de ballon rond : « J’aimais bien l’école mais je me sentais encore plus heureux avec un ballon au pied. Mon père me disait toujours : ‘As-tu déjà vu un footballeur construire une belle maison au Togo ?’ Il avait raison, c’était dangereux de tenter une carrière à l’époque. Alors je me cachais d’eux pour jouer. J’étais obligé de laisser mes chaussures chez un copain. Si mes parents les avaient vues, ils m’auraient tué (rires). » Pourtant très vite sa vie va basculer. En voyage en France – son premier hors d’Afrique – pour disputer un tournoi international Juniors avec la sélection du Togo, il est repéré et s’engage avec le petit club de Saint-Christophe, près de Châteauroux.
A 18 ans, il découvre la quatrième division française. « Mais mon père se fichait toujours pas mal du football. Il ne savait pas que j’avais arrêté les études. Quand je rentrais au Togo, je disais ‘Oui bien sûr j’ai de bonnes notes’. J’aimerais tant qu’il soit encore là pour voir ce que son fils a réussi dans le football… »
Amateur à Dunkerque
A peine deux saisons plus tard, sa carrière est définitivement lancée par un transfert en Picardie, dans les rangs du Sporting Club d’Amiens. C’est le début d’une longue et belle histoire avec ce club. « Je garderai toujours une petite place pour Amiens dans mon cœur. C’est un club qui m’a énormément apporté. Tout s’est toujours merveilleusement passé. » En dix saisons dans les rangs amiénois, Abalo a vécu le pire comme le meilleur. Le pire avec la descente en National en 2000, le meilleur comme cette finale de Coupe de France disputée l’année suivante. Une décennie entière à servir les mêmes couleurs, sans jamais succomber aux envies d’ailleurs : « Je me sentais bien à Amiens, pourquoi aurais-je du en partir ? J’avais des contacts parfois. Même l’année de la descente en National j’ai reçu des offres venues du Golfe persique. Mais il n’y a pas que l’argent dans la vie. En tout cas, c’est ma vision. »
Il finit pourtant par y être contraint. Alors qu’il mène de mains de maîtres les destinées de la sélection togolaise dans les éliminatoires d’Allemagne 2006, les dirigeants picards décident de ne pas prolonger son contrat. A l’été 2005, Jean-Paul se retrouve donc sans club. C’est le début de la galère, qu’il vit pourtant avec philosophie : « Si j’ai du quitter Amiens, c’est la volonté de Dieu. Je ne garde aucune rancœur envers qui que ce soit. C’est juste la manière qui m’a déplu… Mais j’ai finalement pris mon courage à deux mains et tout fait pour continuer à jouer. » Il passe tout le mois d’août à frapper aux portes, participe à un stage organisé pour les footballeurs chômeurs, conclut des essais avec le GB Anvers ou le FC Bruxelles… Sans résultat.
Alors que beaucoup de professionnels n’auraient pas accepté une telle ‘régression’, Jean-Paul Abalo est reclassé amateur et rejoint au mois de septembre les rangs de Dunkerque (CFA). « Il n’y a aucune honte à cela ! Ce qui m’importait, c’était de jouer. Peu importe si je restais chômeur et que je ne gagnais plus ma vie. » Avec toute l’humilité qui le caractérise, il ne rechigne jamais. Même lorsque son entraîneur lui demande de rejoindre l’équipe réserve (en Promotion d’Honneur) pour aider les jeunes. Jean-Paul ne s’en offusque pas, ce qu’il veut c’est jouer. « Il n’y a jamais de petit match. Je revenais d’un essai en Corée et n’étais pas dans une forme excellente. Et puis personne ne m’a forcé, l’entraîneur me l’a juste proposé. » Ainsi, il maintient sa forme et reste compétitif dans les éliminatoires de la Zone africaine.
La qualification en poche, il se souvient de la liesse qui avait suivi le retour à Lomé des Eperviers, qualifiés pour la première fois de leur histoire pour une Coupe du Monde de la FIFA : « Notre dernier match au Congo a été si difficile (3-2) qu’au coup de sifflet final nous ne réalisions pas. Nous étions tous en pleurs sur la pelouse. Il y avait de la joie, de la souffrance, de la peur dans ces larmes… Et ce n’est que quand notre avion a atterri à Lomé que nous avons compris la portée de notre victoire. Jamais une telle foule n’avait été encore rassemblée au Togo. Ça reste un moment inoubliable. »
« Je nous sais capables d’exploits »
Pourtant la joie sera de courte durée. « Entre notre qualification et le début de la Coupe d’Afrique des Nations il y a quoi ? A peine quatre mois ? Et pourtant cela a suffi à tout détruire. La qualification en poche certains se pensaient déjà au sommet. Pourtant c’est bien là qu’il fallait commencer. Nous n’avons eu aucune préparation. Comme notre groupe est jeune, beaucoup de joueurs ont eu du mal à gérer la pression et ont failli. Après le premier match manqué, c’est l’engrenage. » Et Stephen Keshi, l’ex-sélectionneur national, d’en subir les conséquences : « Stephen nous a beaucoup apporté. Il nous a souvent protégés des pressions. Ça m’a fait mal de le voir partir mais c’est le football… Ce qui fait le plus mal, c’est de se dire que nous sommes responsables. »
Irréprochable dans son rôle de capitaine, et encore plus dans celui de patron de la défense – « Certains joueurs de la sélection critiquaient ma présence alors que je n’avais pas de club. J’ai mis un point d’honneur à leur donner tort » –, Abalo tape alors une nouvelle fois dans l’œil des recruteurs lors de cette CAN 2006. Cette fois c’est l’étranger et l’Apoel Nicosie qui lui fait les yeux doux. Mais pour un fidèle comme lui, la décision n’est pas facile à prendre : « Je remercie très chaleureusement Dunkerque qui m’a tendu la main à un moment où personne ne voulait plus le faire. S’il n’y avait pas eu la Coupe du Monde en fin de saison, je serais resté dans le Nord. Mais j’avais besoin de jouer à un niveau plus élevé. » Il signe donc en février dans le club chypriote.
« Je suis rentré de la CAN épuisé nerveusement. Il m’a fallu un certain temps pour m’adapter et retrouver un niveau correct. Mais depuis trois matches je suis titulaire. Nous sommes premiers du championnat, qualifiés en demi-finales de la Coupe. Je suis vraiment très heureux d’être ici. »
Et voici à nouveau Jean-Paul Abalo fin prêt pour aborder cette première Coupe du Monde de la FIFA de l’histoire du Togo : « Cela va être très difficile mais je sais notre équipe capable d’exploits. Si la France est largement favorite de notre groupe, je nous vois à égalité avec la Corée et la Suisse. » Mais dès qu’un brin d’excitation l’emporte, son humilité rejaillit très vite : « Avec le nouveau sélectionneur nous repartons à zéro. Je me prépare en conséquence mais je ne sais pas si je ferai partie de la liste des 23… » Seul lui semble en douter.
Le football togolais se fera parler de lui avec de nouveaux talents (président de la FTF)
Lome - Le football togolais se fera parler de lui au Mondial 2006 en Allemagne avec de nouveaux talents, a estimé le président de la Fédération togolaise de football (FTF), le commandant Rock Gnassingbé, qui a rassuré de la bonne forme du gardien de but Agassa Kossi, ont rapporté dimanche les media officiels.
"Le Togo va faire parler de lui au Mondial", a déclaré le commandant Rock Gnassingbé, rassurant qu'il n' y a pas lieu de désespérer et que toutes les poules sont jouables.
A propos du portier Agassa (évoluant à Metz en France) qui est blessé, Rock a confié que le gardien togolais a repris l'entraînement et qu'il n'y a pas lieu de s'inquiéter à son sujet. Autrefois titulaire de l'équipe nationale, Agassa est dorénavant concurrencé par d'autres nouveaux gardiens togolais détectés à l'étranger dont un évolue en Turquie.
La Fédération aura à régler un problème auquel sont confrontés quatre joueurs togolais retenus par leurs équipes françaises, a également souligné le président de la FTF. Il s'agit de Gakpé serge, Serge Akakpo, Boukari Sadiou et Yan Folly.
L'équipe togolaise, les Eperviers, qui s'était brillamment qualifiée à la fois pour le Mondial 2006 et la Coupe d'Afrique des Nations (CAN-2006), déjà jouée en Egypte, mais a vite plié bagage au premier tour de la CAN sans aucune victoire.
Ils avaient enregistré au total sept buts en trois matchs, mettant du doute sur une meilleure prestation de cette équipe au Mondial 2006 en Allemagne
"Le Togo va faire parler de lui au Mondial", a déclaré le commandant Rock Gnassingbé, rassurant qu'il n' y a pas lieu de désespérer et que toutes les poules sont jouables.
A propos du portier Agassa (évoluant à Metz en France) qui est blessé, Rock a confié que le gardien togolais a repris l'entraînement et qu'il n'y a pas lieu de s'inquiéter à son sujet. Autrefois titulaire de l'équipe nationale, Agassa est dorénavant concurrencé par d'autres nouveaux gardiens togolais détectés à l'étranger dont un évolue en Turquie.
La Fédération aura à régler un problème auquel sont confrontés quatre joueurs togolais retenus par leurs équipes françaises, a également souligné le président de la FTF. Il s'agit de Gakpé serge, Serge Akakpo, Boukari Sadiou et Yan Folly.
L'équipe togolaise, les Eperviers, qui s'était brillamment qualifiée à la fois pour le Mondial 2006 et la Coupe d'Afrique des Nations (CAN-2006), déjà jouée en Egypte, mais a vite plié bagage au premier tour de la CAN sans aucune victoire.
Ils avaient enregistré au total sept buts en trois matchs, mettant du doute sur une meilleure prestation de cette équipe au Mondial 2006 en Allemagne
dimanche, avril 23, 2006
Togo-Mondial 2006: aucune demande de visa encore enregistrée pour 11.000 billets alloués
LOME -- Aucune demande de visa de supporters togolais des Eperviers n'est encore faite à l'ambassade d'Allemagne, a indiqué vendredi lors d'une conférence de presse, l'ambassadeur Klaus Günther Grohmann, alors que 11.000 billets sont retenus pour le Togo.
Le diplomate allemand a rassuré à ce sujet de dispositions suffisantes prises pour traiter les demandes de visa avant le premier match des Eperviers contre la Corée du Sud, avec notamment l'ouverture de deux autres guichets et l'affectation d'un personnel supplémentaires.
Des responsables de la Fédération togolaise de football(FTF) présents à cette conférence ont expliqué que sur les 11.000 billets, près de 5.000 sont retenus pour les Togolais vivant au pays.
Selon eux, beaucoup de Togolais résidant en Europe et ailleurs en ont fait la demande et la FTF a sollicité de la FIFA des billets additionnels pour lesquels une suite n'est pas encore donnée.
Au niveau du Togo, les prix des billets seront majorés de 20% qui serviront à couvrir les frais de transfert des fonds, de transport et d'acheminement des billets, les frais de communication et des opérations de personnalisation des billets, a expliqué le Secrétaire général adjoint de la FTF, chargé de la billetterie, M. Paniah Gagnon Norbert.
Les détenteurs de billets qui n'auront pas pu faire le voyage sur l'Allemagne pour des raisons de visa et autres ne pourront malheureusement pas être remboursés, a-t-il souligné.
Les 11.000 billets, de quatre catégories, disponibles à partir du 30 avril sont évalués à 600.000 euros, soit 400 millions de francs CFA. Fin
Le diplomate allemand a rassuré à ce sujet de dispositions suffisantes prises pour traiter les demandes de visa avant le premier match des Eperviers contre la Corée du Sud, avec notamment l'ouverture de deux autres guichets et l'affectation d'un personnel supplémentaires.
Des responsables de la Fédération togolaise de football(FTF) présents à cette conférence ont expliqué que sur les 11.000 billets, près de 5.000 sont retenus pour les Togolais vivant au pays.
Selon eux, beaucoup de Togolais résidant en Europe et ailleurs en ont fait la demande et la FTF a sollicité de la FIFA des billets additionnels pour lesquels une suite n'est pas encore donnée.
Au niveau du Togo, les prix des billets seront majorés de 20% qui serviront à couvrir les frais de transfert des fonds, de transport et d'acheminement des billets, les frais de communication et des opérations de personnalisation des billets, a expliqué le Secrétaire général adjoint de la FTF, chargé de la billetterie, M. Paniah Gagnon Norbert.
Les détenteurs de billets qui n'auront pas pu faire le voyage sur l'Allemagne pour des raisons de visa et autres ne pourront malheureusement pas être remboursés, a-t-il souligné.
Les 11.000 billets, de quatre catégories, disponibles à partir du 30 avril sont évalués à 600.000 euros, soit 400 millions de francs CFA. Fin
Le Togolais Agassa Kossi dit ses vérités
Le gardien du FC Metz qui a été titularisé contre Toulouse et disputera les dernières journées de L1 fait des confidences cette semaine à "France Football". Extraits:
A propos d'Otto Pfister: "Pour le moment personne ne sait quelles sont ses intentions. C'est même sur internet que j'ai appris que nous allions disputer cinq rencontres amicales avant notre premier match contre la Corée du Sud".
A propos de Stephen Keshi:"On était plusieurs à penser que, par rapport au travail effectué pendant les éliminatoires, méritait de garder sa place. Mais il ne faut pas exégérer. On a dit qu'il y avait eu une vraie frande et que nous étions même sur le point de boycotter le nouvel entraîneur. C'est faux".
A propos d' Emmanuel Adebayor:" Adebayor est peut-être la star togolaise, mais ce n'est pas lui qui décide du licenciement ou de la nomination du sélectionneur. N'exagérons pas son importance".
Et maintenant ? "De l'eau a coulé sous les ponts. Les gens se sont expliqués. J'ose espérer que tout se passera bien en Allemagne".
A propos d'Otto Pfister: "Pour le moment personne ne sait quelles sont ses intentions. C'est même sur internet que j'ai appris que nous allions disputer cinq rencontres amicales avant notre premier match contre la Corée du Sud".
A propos de Stephen Keshi:"On était plusieurs à penser que, par rapport au travail effectué pendant les éliminatoires, méritait de garder sa place. Mais il ne faut pas exégérer. On a dit qu'il y avait eu une vraie frande et que nous étions même sur le point de boycotter le nouvel entraîneur. C'est faux".
A propos d' Emmanuel Adebayor:" Adebayor est peut-être la star togolaise, mais ce n'est pas lui qui décide du licenciement ou de la nomination du sélectionneur. N'exagérons pas son importance".
Et maintenant ? "De l'eau a coulé sous les ponts. Les gens se sont expliqués. J'ose espérer que tout se passera bien en Allemagne".
mardi, avril 11, 2006
Togo: Dyto - ASKO en finale
Le Dynamic togolais (DYTO) et l'ASKO de Kara joueront la finale de la Coupe du Togo. En demi-finale, l'ASKO a sorti Mango de Doumbé (3-1), 2-0) et le DYTO a pris le meilleur sur l'AS Togo port (0-0, 2-3).
Dyto aremporté la Coupe à trois reprises en 2001, 2002 et l'année dernière. L'ASKO de Kara l'a gagnée quatre fois (75, 76, 87 et 95). La finale sera, en quelque sorte, un duel entre ancien et moderne.
Dyto aremporté la Coupe à trois reprises en 2001, 2002 et l'année dernière. L'ASKO de Kara l'a gagnée quatre fois (75, 76, 87 et 95). La finale sera, en quelque sorte, un duel entre ancien et moderne.
Mondial-2006 : les Africains en préparation
A encore deux mois de la Coupe du monde de football, qui se déroulera de juin à juillet en Allemagne, les cinq mondialistes africains ont programmé une série de matches amicaux, a-t-on appris dimanche du site Internet de la Confédération africaine de football (CAF).
Le Togo s'offre deux rencontres de préparation. Les Eperviers ont prévu de jouer le 14 mai à Amsterdam contre l'Arabie saoudite et à une date indéterminée contre le Lichtenstein.
La Tunisie a programmé, elle aussi, deux matches avant d'aller en Allemagne, contre la Suisse et l'Iran.
L'Angola, quant à lui, s'autorise quatre adversaires de choix entre le 19 mai et le 5 juin : l'Argentine, l'Australie, l'Arabie saoudite et la Suisse.
Présentée comme l'équipe africaine la plus en forme du moment, la Côte d'Ivoire rencontrera la Suisse le 27 mai à Bâle (Suisse), puis le Chili le 30 mai en France, avant de boucler sa préparation le 4 juin à Evry en France contre la Slovénie.
Enfin, le Ghana disputera deux matchs contre des clubs allemands les 19 et 26 avril, avant de défier la Turquie le 26 mai, la Jamaïque le 29 mai et la Corée du Sud le 4 juin.
Le Togo s'offre deux rencontres de préparation. Les Eperviers ont prévu de jouer le 14 mai à Amsterdam contre l'Arabie saoudite et à une date indéterminée contre le Lichtenstein.
La Tunisie a programmé, elle aussi, deux matches avant d'aller en Allemagne, contre la Suisse et l'Iran.
L'Angola, quant à lui, s'autorise quatre adversaires de choix entre le 19 mai et le 5 juin : l'Argentine, l'Australie, l'Arabie saoudite et la Suisse.
Présentée comme l'équipe africaine la plus en forme du moment, la Côte d'Ivoire rencontrera la Suisse le 27 mai à Bâle (Suisse), puis le Chili le 30 mai en France, avant de boucler sa préparation le 4 juin à Evry en France contre la Slovénie.
Enfin, le Ghana disputera deux matchs contre des clubs allemands les 19 et 26 avril, avant de défier la Turquie le 26 mai, la Jamaïque le 29 mai et la Corée du Sud le 4 juin.
dimanche, avril 02, 2006
Cinq semaines de stage pour les "Eperviers" avant le Mondial
TOGO :
La sélection nationale de football du Togo aura cinq semaines de stage pour préparer la Coupe du monde de football qui démarre en juin prochain en Allemagne, a annoncé jeudi à Lomé, le nouvel entraîneur des "Eperviers", l'Allemand Otto Pfister.
Selon le programme de stage les "Eperviers", qui installeront leur quartier à Wagen, en Allemagne, livreront cinq matches amicaux dont le premier est prévu le 14 mai prochain contre l'Arabie saoudite (également qualifiée pour le Mondial) à Amsterdam (Hollande).
Le second match amical de la sélection togolaise sera joué contre l'équipe réserve de Bayern de Munich (D1 Allemagne), en Allemagne avant d'affronter, le 28 mai, Augsbourg, une équipe qui monte en D1 du championnat allemand.
La sélection de Liechtenstein sera la quatrième équipe que les "Eperviers" rencontreront dans le cadre de leur stage. Le match se jouera à Vaduz, capitale de Liechtenstein.
Quant au dernier match de préparation, les "Eperviers" togolais le disputeront contre une sélection de Wagen, leur lieu de stage.
Otto Pfister, qui reconnaît qu'une "lourde tâche" l'attend, affirme cependant qu'il prendra "toute la responsabilité" afin que le Togo ne connaisse plus de débâcle comme celle qu'il a connue lors de la dernière CAN en Egypte.
L'entraîneur qui affirme, par ailleurs, travailler avec une liste de 45 joueurs, compte sur les talents de l'attaquant vedette, Emmanuel Shéyi Adébayor (Arsenal, D1 Angleterre) qu'il qualifie de "professionnel 100%, capable de mourir pour le Togo sur le terrain".
Dans la sélection, a déclaré Otto Pfister, "je vais travailler uniquement avec les joueurs professionnels évoluant à l'étranger en D1, D2 et D3 mais titulaires dans leurs clubs respectifs".
Pour renforcer le staff technique, le sélectionneur a annoncé qu'il travaillera avec le Hollandais Pitt Hamberg comme premier entraîneur adjoint et le Togolais Kodjovi Mawuena, entraîneur de Dyto (D1 Togo) en qualité de deuxième entraîneur adjoint.
Le poste de Directeur technique est désormais occupé par un technicien togolais, Camelio Akoussah.
Le staff médical est également renforcé par un médecin allemand, Joachim Schuber qui fait 20 ans dans la médecine sportive, a déclaré l'entraîneur.
Le Togo, qualifié pour la Coupe du monde 2006 en Allemagne évoluera dans la même poule que la Corée du Sud, la France et la Suisse.
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